fusions.ch 1988-2011 - Quelques repères historiques et statistiques
1988-1996 Le mensuel gratuit «fusions MegaZine» est le seul et unique magazine suisse romand consacré aux musiques actuelles. Parti d'un «fanzine» photocopié à 250 exemplaires, il deviendra au fil des années un véritable magazine tiré à 25000 exemplaires et distribué dans 300 lieux branchés musique de Suisse et de France voisine.
1995 Ouverture du site fusions.ch, qui dans un premier temps se consacre exclusivement à la musique et au théâtre. Le site Internet se veut complément dynamique du magazine imprimé avec un agenda réactualisé en permanence et une base de données de toutes les adresses utiles de la scène live en Suisse.
1996-1998 Développement de partenariats permettant au site fusions.ch de se financer grâce à des projets commerciaux parallèles qui n'interfèrent ni avec sa vocation culturelle ni avec son statut d'organisation à but non lucratif. Abandon du magazine imprimé pour des raisons de coûts et de charge de travail. Le site fusions.ch se recentre peu à peu sur Montreux, la Riviera et les régions avoisinantes.
1998-2008 Partenariat exclusif avec un portail régional. Le site fusions.ch devient un vaste laboratoire où s'expérimentent et se mettent en place les nouvelles technologies qui font leur apparition sur le web: images animées, diffusion du son puis de la vidéo, streaming, bases de données en ligne, prototypes de CMS... Très vite, fusions.ch se met à gérer son propre serveur dédié, ce qui lui donne une liberté totale dans tous ses développements.
Dès 2001 Sous l'impulsion de fusions.ch, le portail régional partenaire donne naissance à un portail suprarégional. Ces 2 portails, dont le contenu est différent mais complémentaire, interagissent et leur impact grandit très vite. Dans ce «web régional» à vocation touristique, commerciale et culturelle, fusions.ch constitue dans l'ombre un moteur technique et un fournisseur de contenu. Au fil des années, fusions.ch va ainsi créer un vaste contenu touristique, à la fois iconographique et informatif, qui est «satellisé» sur les sites de ses partenaires.
2003-2004 Depuis 1995, fusions.ch utilisait un CMS offline qui offrait l'avantage d'une rapidité inégalée, mais qui impliquait une centralisation totale de la gestion. Avec la généralisation du haut débit et le besoin de ses partenaires de gérer leurs informations de manière autonome, fusions.ch entame une mue technologique et une partie de son contenu est désormais gérée par un CMS online développé sur mesure.
2005-2009 Fidèle à sa première vocation, purement culturelle, fusions.ch s'investit, en parallèle à ses activités web, dans la gestion d'une salle de concerts. C'est l'occasion de développer un concept de vidéos de concert mixées en «live» qui aboutira à la production de DVDs promotionnels et à l'ouverture d'un canal YouTube dont l'impact deviendra vite considérable (env. 1500 vidéos visionnées chaque jour).
Eté 2008 Avec la sortie en Suisse de l'iPhone d'Apple, fusions.ch commence de s'intéresser aux implications des smartphones sur le Web du futur. A titre expérimental, des versions iPhone de divers sites partenaires seront réalisées durant l'automne.
Fin 2008 Fin du partenariat avec le double portail régional, qui a décidé de procéder à un redéveloppement total basé sur un CMS open source. Le vaste contenu touristique de fusions.ch, jusqu'alors «satellisé» sur le double portail, est profondément retravaillé en vue d'une intégration dans un site fusions.ch entièrement redéveloppé.
Premier trimestre 2009 Le CMS fusions.ch, jusqu'ici seulement partiellement implémenté, est désormais totalement déployé et, en mars, un site fusions.ch métamorphosé est mis en ligne. Avec son contenu «satellisé» sur d'autres noms de domaine, l'impact global de fusions.ch n'était jusqu'alors mesurable qu'à travers les statistiques des sites partenaires. Avec la réintégration de tout son contenu sur son propre nom de domaine, fusions.ch s'attaque à une phase de référencement intensif qui portera vite ses fruits.
Avril-mai 2009 La métamorphose de fusions.ch en portail culturel et touristique est très vite prise en compte par les moteurs de recherche. Entre avril et mai, l'impact du site double d'un coup puis se stabilise en conservant une tendance à la hausse, avec les fluctuations saisonnières habituelles aux portails touristiques.
Printemps 2009 Présent sur Facebook depuis une année, fusions.ch s'attaque à développer une forte présence sur ce réseau social, dans un premier temps pour assurer de la promotion événementielle, puis pour assurer la promotion de l'ensemble de ses activités.
Mai-décembre 2009 L'impact de fusions.ch se maintient à la hausse et le portail, désormais labellisé «Culture and Tourism on the Swiss Riviera», reçoit une moyenne de plus de 18 000 visites chaque mois. L'impact réel est toutefois plus élevé, ce chiffre n'englobant pas le contenu diffusé sur les réseaux sociaux YouTube et Facebook.
Février 2010 Ouverture du site iMontreux.com, version iPhone de fusions.ch. Une fois de plus, le portail culturel et touristique fait oeuvre de pionnier: en Suisse, la consultation de sites web au moyen de smartphones ne représente au début 2010 qu'un peu plus de 1% de l'utilisation totale (source: GlobalStats), mais une nouvelle révolution est désormais en marche.
Avril-juin 2010 Le travail de référencement continue de porter ses fruits et, durant le 2e trimestre 2010, fusions.ch reçoit plus de 56 000 visites, contre 45 000 durant la période équivalente de 2009, soit une augmentation d'impact de près de 25%.
Juillet-décembre 2010 Une nouvelle phase de référencement et un contenu sans cesse enrichi provoquent une nouvelle hausse de l'impact. Durant le 2e semestre 2010, fusions.ch reçoit plus de 163 000 visites, contre 111 000 durant la période équivalente de 2009, soit une augmentation d'impact de 47%.
Septembre 2010 Avec la sortie de l'iPhone 4 en Suisse, enfin doté d'un appareil photo correct, le smartphone d'Apple peut désormais soutenir ses ambitions et devenir une station de travail de poche. Durant un voyage à l'étranger, fusions.ch en apporte la preuve en créant jour après jour un diaporama produit à 100% sur iPhone, de la prise de vue à la mise en ligne, en passant par l'édition des photos et des fichiers XML et HTML, au moyen d'applications natives de retouche photo, de traitement de texte et de FTP, et par le biais des connexions Wi-Fi trouvées en chemin.
Octobre 2010 Un «vieux» projet est ressorti des tiroirs: le développement d'applications iPhone. Un premier essai voit du contenu fusions.ch se diffuser sur l'application de réalité augmentée Wikitude. Pour fusions.ch toutefois, la réalité augmentée ne peut constituer qu'une fonctionnalité parmi d'autres et cette diffusion de contenu par le biais d'une application tierce demeure dans l'ensemble insatisfaisante. D'autres pistes seront donc explorées.
Janvier 2011 Sortie sur l'App Store de la première application iPhone de fusions.ch. Baptisée SwissVU, elle est principalement consacrée à des galeries de photos (liées à des informations détaillées sur les lieux photographiés) et à un calendrier d'événements recommandés (également lié à des informations détaillées sur les organisateurs).
Mars 2011 Sortie sur l'App Store de la 2e application iPhone de fusions.ch. Baptisée iMontreux, elle est beaucoup plus ambitieuse que SwissVU et constitue un véritable guide touristique de poche ciblé sur Montreux, la Riviera et Lavaux. Elle met en avant les possibilités de se connecter gratuitement dans la région et conseille l'utilisateur dans divers domaines. Elle comporte également une console d'administration simplifiée qui permet d'intervenir directement dans le CMS fusions.ch pour mettre à jour certaines informations (actualités, descriptifs, coordonnées, etc.).
A suivre...

L'utilisation du web mobile est en train d'exploser: en avril 2011, elle a représenté 5,21% du total dans le monde et 6,55% en Amérique du Nord, même si la Suisse accuse encore du retard sur la tendance avec 2,32% seulement.

Le système d'exploitation iOS (iPhone, iPad, iPod Touch) a été utilisé en avril 2011 par 76,16% des smartphones en Suisse (contre 43,66% en Europe et 36,69% en Amérique du Nord) et 4,93% des visiteurs de fusions.ch l'ont utilisé pour consulter le portail.

Des chiffres qui encouragent fusions.ch à poursuivre le développement de ses applications gratuites, désormais labellisées «iSwitzerland Free Apps Series».

Le contenu fusions.ch, quant à lui, ne cesse de s'étoffer, semaine après semaine. A mi-mai 2011, Google référence plus de 8500 pages du portail culturel et touristique, et plusieurs milliers de personnes suivent les activités de fusions.ch sur Facebook.

En se positionnant comme complémentaire aux divers sites officiels avec son contenu inédit et en multipliant les liens vers d'autres sites et vers les réseaux sociaux, fusions.ch constitue désormais un portail de référence pour toute la région.

Rayonnant à partir de Montreux, son contenu couvre une zone géographique qui s'étend sans cesse, en toute indépendance et au gré de ses coups de coeur, de ses excursions et de ses rencontres...